Auteur, biographe et conférencier, passionné d’histoire contemporaine, épris de culture américaine, je me suis mis, avec enthousiasme, à l’écriture d’essais, de romans, d’enquêtes et de biographies.
Né à Tours, c’est la découverte de la poésie d’Arthur Rimbaud qui guida mes premiers engagements culturels.
Consécutivement animateur culturel, manager de laboratoires, conseil en communication et chargé de cours à l’université François Rabelais de Tours, je vous invite à découvrir mes livres sur ma page Facebook qui vous renseignera sur mes actualités littéraires.
Cinéphile et amoureux des salles obscures, à la fois spectateur et critique, je noue une passion notable pour le septième art. Je fréquente régulièrement les cinémas « Studio » à Tours.
Biographe, Si vous êtes un particulier ou un professionnel, parce que les moments marquants de votre existence sont importants, pour répondre à vos besoins, je mets mon expérience d’auteur au service de la réalisation de votre biographie, ou celle de votre entreprise.
Ma devise:
« Il faut frotter et limer sa cervelle contre celle d’autrui » Montaigne
Passionné d’histoire contemporaine t de cinéma; dans cette nouvelle biographie, Tony JAGU dresse le portrait d’une femme sous influence, grande séductrice du milieu littéraire français…
Dans cette biographie, Tony JAGU démontre les effets des événements sur l’œuvre romanesque du célèbre écrivain des « Promesses de l’Aube » et sur Jean SEBERG, la star devenue une figure culturelle de la « Nouvelle Vague » qui utilise sa notoriété pour défendre des causes notamment celle de la discrimination raciale aux Etats Unis.
Pour Connie, l’une des meilleures façons de faire connaissance avec l’Amérique était de s’assoir dans sa Mustang et de s’évader sur les routes du Far-West. Depuis les premières tentatives de colonisation, la légende de la conquête de l’Ouest se mêlait à la réalité.
Sur la piste des pionniers ou des chercheurs d’or, comme la plupart des américains, elle poursuivait l’appel de ce nouveau monde.
A travers l’exceptionnelle diversité des paysages, ses itinéraires lui faisaient traverser des réserves naturelles, des plages de rêve et des villes cosmopolites où le luxe côtoyait la misère.
Depuis Denver, entre la nonchalance hippie de San Francisco, et la sordide réalité de certains quartiers de Los Angeles, Connie mettait en scène son périple californien.
Avec son esprit » West Coast » de tolérance et de liberté, ce road trip de deux semaines nous réservait de belles surprises et un certain nombre d’interrogations…
Sur les bancs de l’université, ces jeunes enragés se faisaient remarquer à méditer sur les grandes questions qui agitent de notre temps: l’identité et la question nationale, le marxisme et le libéralisme, le mythe de l’égalité prôné par la gauche, l’immigration et l’édification européenne…
Cette génération, en partie désabusée, voulait-elle pousser vers une révolution conservatrice?
Livre iconographique sur la cité médiévale de Tours.
Livre iconographique sur la cité médiévale de Chinon.
A travers les châteaux et les gentilhommières, les campagne vallonnées, les vertes forêts, les vignes et les coteaux ensoleillés, Tony JAGU et Dominique FILLETON vous invitent à partir également sur les traces de Richelieu ou de Balzac.
En Union soviétique, sous Staline, Anatoli, dans son usine automobile proche de Moscou, témoigne d’une réelle ferveur communiste, convaincu de la justesse de la ligne du parti.
Malgré les purges, son consentement au pouvoir central explique la radicalisation de la répression acceptée par les masses, l’aboutissement d’un long processus idéologique du Parti.
Pour la génération de Günter , son fils, né à Berlin-Est , et témoin de la chute du mur, la conversion communiste de la société devenait insupportable.
Après de brèves carrières d’avocate, de journaliste, puis de femme de lettres, Jeanne s’était lancée dans l’édition à la mort de son père. Tandis qu’elle entretenait les mondanités, les invitations, les soupirants et les rencontres de journalistes et d’écrivains, Robert Denoël dépensait une énergie folle à son métier d’éditeur, sans grandes illusions sur ses relations amoureuses.
Dans la tourmente de la libération, tandis que l’éditeur Robert Denöel s’inquiétait des attaques dont il faisait l’objet, il préparait sa défense avec Jeanne se remémorant son séjour à Figeac, fasciné par la châtelaine du château de Béduer.
Malgré les obstacles et les séparations, Jeanne de son côté, lassée de son étrange relation amoureuse avec le poète Paul Valéry, se débattait dans de nombreux procès pour se disculper de l’accusation d’assassinat de son amant. Malgré les années dans les cercles littéraires et mondains, les relations intimes et d’affaires entre Robert Denoël, un éditeur opportuniste de talent et Jeanne Loviton, son égérie éphémère, demeuraient très sensibles..
Livre enquête
En apparence bien tranquille, un jeudi 16 août 1951, dans le sud de la France, le sort s’acharnait sur la bourgade de Pont-Saint-Esprit.
Une poignée d’habitants pris de démence décèderont tandis qu’une dizaine d’autres seront internés en hôpital psychiatrique pour de terribles hallucinations…
Malgré toutes les hypothèses, le dossier de la grande peur de Pont-Saint-Esprit resta inaccessible durant plusieurs décennies jusqu’aux révélations d’un journaliste d’investigation américain.
Dans les années 1950 à Paris, Antoine et ses compagnons de route, anarchistes de droite appréciaient l’ambiance des cafés où se retrouvaient acteurs, artistes, politiques et cinéastes. Fauché, Antoine est acteur et travaille d’arrache-pied. Il semble avoir un don pour l’écriture.
Dans son roman « L’Affaire Dexter » une intrigue policière dans les milieux de la finance internationale Tony JAGU raconte l’histoire d’un magnat de l’industrie pharmaceutique dont la passion du jeu et les frasques nocturnes défrayèrent la chronique. A Chicago, capitale du Middle-Ouest américain, dans les milieux boursiers et du monde des affaires Michael Dexter fréquentait les jeunes loups de la finance en faisant main basse sur de nombreuses sociétés. C’est son père John qui travaillait dans une banque d’affaires de Wall-Street qui l’initia aux fusions-acquisitions d’entreprises et aux placements à haut risques. Grâce à son ascension fulgurante, il convoitait le rachat d’un laboratoire français avant d’être kidnappé. Menotté et baillonné, il disparaissait à la sortie de son domicile. Les enquêteurs pensèrent à une prise d’otage politique émanant d’un groupe d’extrême gauche, tandis que le shérif Jordan poursuivait la piste d’un rapt crapuleux. La bande de Mickey, un exilé cubain sans scrupules qui symbolisait l’essor du crime organisé contribuait à donner à la ville de Chicago sa réputation de ville sans foi ni loi.
Malgré cette période sombre, le second volet des » carnets d’un cinéphile » retrace l’histoire du cinéma français du Front populaire à la libération de Paris.
La censure et la propagande en zone occupée s’attaquaient aux références anglo-saxonnes et s’appliquaient aux acteurs et réalisateurs juifs ou communistes.
Cependant, la période de l’occupation fut un second souffle pour le cinéma français qui marqua la rupture avec l’aspect artisanal que révélait ce secteur d’activité avant-guerre.
C’est le cinéma américain qui va exalter et mystifier la résistance française, réelle ou supposée, et développer une critique très sévère de la collaboration avec l’ennemi allemand.
Quand on évoquait le nom de Pollux, c’est toutes ses affaires qui surgissaient immédiatement de la mémoire de l’auteur, son passé, ses amitiés troubles, son mensonge sur sa santé, des disparitions non élucidées, ses concubines, sa fille cachée et sa conversion à l’argent.
Si jean Seberg incarna un idéal féminin pour toute une génération, Shirley passa une grande partie de son enfance à Los Angeles admirant les actrices de cinéma rêvant à son premier triomphe bouleverserait son destin.
Autrefois terre des Indiens Chumash et de missions religieuses hispaniques, Los Angeles était devenue une mégalopole qui dominait le septième art. Acteurs, réalisateurs et producteurs, tous vendeurs de rêves habitaient la ville tentaculaire. La cité des anges se prêtait aux strass et aux paillettes.
De plus loin de son regard sur le passé, Shirley avait affronté la souffrance des autres, les tricheries des acteurs et les tricheries d’Hollywood, dont certains producteurs tiraient en coulisse les ficelles des rôles et des carrières.
Des photos retrouvées dans une boite en fer que mon père m’avait transmise évoquaient les campagnes de pêche à Terre-neuve, la guerre de 1914-1918, le Front populaire jusqu’aux turbulences de mai 1968…
Les gaulois sont-ils plus pessimistes que leurs voisins européens, La schizophrénie française reste un frein aux réformes, tiraillée indubitablement entre l’économie du libre-échange et protectionnisme des partisans de l’emploi à vie des avantages acquis , générateurs de rigidité.
Aucune évolution notoire n’a été possible dans cet écartèlement idéologique. Lorsque l’on évoque les inégalités , nos politiques nous font croire que l’on veut donner la priorité à une société plus juste face à la montée du communautarisme social et religieux, mais aussi des corporatismes.
Dans ce phénomène de globalisation irréversible, comment les jeunes générations pourront-elles s’inscrire dans un nouveau projet collectif?
Explorer près de quatre-vingts ans de cinéma, c’est aborder les thèmes centraux de l’histoire des hommes. Initier son regard, changer de vision pour appréhender et expliquer les événements de notre société sont les conditions nécessaires pour réfléchir sur la toile, « seul au monde ». Dans ces carnets, les arrêts sur image et les thèmes retenus peuvent être critiques, s’attacher à un contexte historique ou remettre en question des poncifs ; ils offrent avant tout un voyage au cur d’un maelström d’images, de sons et de personnages, où le fond et la forme s’entrelacent pour donner vie au septième art : à la fois le plus accessible et le plus riche. Issu de la génération de la nouvelle vague, cinéphile depuis plus de quarante ans, Tony Jagu partage avec un enthousiasme contagieux les moments forts de cette histoire d’amour. Comme toute déclaration, celle qu’il adresse aux salles obscures s’avoue subjective, intime, et révèle un itinéraire personnel, jalonné de rencontres troublantes et de souvenirs marquants ; metteurs en scène, scénaristes, acteurs, compositeurs, producteurs : l’auteur rend hommage à chacun. Spectateur mais aussi critique, il n’oublie pas de poser un regard lucide sur un art qui se travestit parfois en industrie, pour le meilleur… comme pour le pire.
En temps de crise économique, ce livre propose de relever les défis des entreprises et d’appréhender des outils opérationnels guidés par des valeurs éthiques et d’optimisation des organisations. Cet éclairage accentue le rôle du manager, la flexibilité des entreprises dans leur stratégie et leur développement, incitant le salarié à plus d’autonomie. Ainsi, comment insuffler pour le manager d’aujourd’hui une culture d’entreprise gratifiante pour donner envie à ses collaborateurs de s’engager ?
Dans cette biographie, je dresse le portrait d’Anaïs Nin, à la fois autrice, narratrice et personnage de fiction.
Ne fuyait-elle pas la mise à nu de son existence en jouant avec les voiles de la fiction ? A la fois épouse et amante libertine, connue pour ses journaux intimes et ses secrets d’alcôve, cette femme d’exception, pionnière à son époque, confessait aux lecteurs ses sentiments amoureux et sa sexualité.
Hédoniste bisexuelle, afin de dissimuler son besoin de séduire elle avait préféré le mensonge.
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