De formation littéraire (études de littérature et de philosophie), je manie les mots depuis toujours.En eux, je trouve une trame puissante, un chemin essentiel, un art de vivre avec justesse et poésie. La nature joue un rôle enchanteur et prépondérant, dont je ne saurais me passer. J'écris depuis une dizaine d'années. Tout d'abord, sous le nom de Azencot Marylène :
En 2017 Quelques instants précieux : Recueil poétique de moments de bonheur et de désinvolture. Édition Claire Lorrain
En 2017 Maman, j'aurais pu... Un livre-témoignage après le décès de ma maman. Édition Claire Lorrain
Puis, sous le nom de Halimi Marylène
En 2021 La douloureuse plainte des cyprès. Un roman d'amour, a été en lice pour le prix Méditerranée du premier roman. Édition M plus Édition
En 2021 Ces mots éperdus que tu ne liras plus. Un livre consacré à la mémoire de mon enfant Mickaël, que j'ai perdu en 2020. Le désespoir d'une maman et la perte inestimable d'un enfant. Chez Claire Lorrain
En 2022 Impressions fugitives dans la pâleur opalescente d'un matin. À travers ses souvenirs, ses joies, ses peines, ses drames, l'auteur se livre au lecteur en toute gratitude et, livre avec poésie, le bilan d'une vie accomplie.
En 2023 Éblouissante et bouleversante Marie-Antoinette. Livre historique, romancé, notamment avec la relation amoureuse et passionnelle de la reine de France et du comte de Fersen. Chez Claire Lorrain
Actuellement, je travaille sur la Shoah.
Au matin du 21 avril 1770, l’archiduchesse Marie-Antoinette de Habsbourg d’Autriche, quitte Vienne et sa famille pour épouser, à quinze ans à peine, le dauphin Louis-Auguste de Bourbon, futur roi de France. Destin tracé et tragique, de l’adolescente, lié à un traité de paix entre deux États. La nuit de noces n’est pas consommée et va perdurer pendant sept ans. Multipliant les fêtes somptueuses à la Cour de Versailles, la jeune reine, Marie-Antoinette, rejetée par une Cour hostile et méprisante à son égard, s’étourdit dans une vie dissolue, ne se préoccupant nullement de ses sujets, d’un peuple affamé, misérable et d’une gabegie outrancière au sein du royaume de France. C’est au petit Trianon, que le roi Louis XVI lui a offert, que la souveraine trouve un havre de paix et de félicité. Un jour, Marie-Antoinette fait la connaissance d’un comte suédois, un certain Axel de Fersen. Le coup de foudre entre le couple flamboyant est immédiat…
La nuit se profile, étoffe épaisse et chatoyante, ourlée d’un contact soyeux et mystérieux, bordant de son empreinte douce, les buissons à peine endormis, la lisière de la forêt immobile, la surface du lac apaisé et candide, étouffant le bruissement furtif des ailes des oiseaux qui se referment subrepticement. Tandis que dans le ciel couleur d’ébène, les étoiles se rassemblent en constellations géométriques, d’une infinie beauté exquise. Elles scintillent de mille feux légers et intermittents, perçant la nuit danse, de lumière blanche, douce et argentée. Tout devient réceptif au doux sommeil déversé par un marchand d’étoiles, généreux et prodigue, qui saupoudre de sa baguette magique, des millions de paillettes phosphorescentes et luminescentes. Elles retombent en poussières lumineuses, s’allumant tour à tour, déposant une lumière scintillante, brillant de mille feux. Je n’ai pas sommeil, je sais qu’une longue veille m’attend, alors, j’écoute le silence tout autour de moi, tandis que dans le lointain, un chien aboie douloureusement et que quelques oiseaux facétieux pépient encore... La nuit prend possession des êtres et des choses, mais ne m’atteint pas encore. À travers ses souvenirs, ses joies, ses peines, l’auteure se livre au lecteur en toute gratitude et, livre avec poésie, le bilan d’une vie accomplie.
Dans ce témoignage bouleversant et soutenu, empreint de gravité et de désespoir, l’auteure raconte la sidération, l’ahurissement, l’indicible, l’inacceptable après le décès de son enfant. Mère et enfant sont totalement fusionnels, comme aimantés, indissociables, forts dune même résilience. Le récit est écrit sous forme épistolaire, la mère raconte à son enfant tout ce qu’elle ressent dans ce quotidien désormais impavide, sans son enfant adoré. L’envie de disparaître, de se dissoudre. Puis, peu à peu, le goût de l’écriture à nouveau, et l’appel de cette nature si belle et généreuse, comme une résurrection. Roman puissant, violent, acerbe, sans concession, sans filtre. Au sein de ces pages émouvantes, c’est un hommage vibrant d’émotion, la sanctification d’un amour filial infini, que le temps ne saurait épuiser.
La douloureuse plainte des cyprès Périple d'un couple éperdument amoureux, à travers la Toscane belle et sauvage, Paris ou l'Irlande. Un amour fulgurant, passionnel, inconditionnel. Un feu d'artifice éclatant, époustouflant ! Consentement pénétrant, éthéré. Quintessence d'un raffinement extrême, d'une suavité évanescente… Un roman passionnel, il y a l'amour dans son plus bel écrin, et la Dolce Vita, la douceur de vivre toscane. Étourdissant de volupté, la sensualité est exprimée, tout comme la beauté intemporelle et sauvage de la Toscane, empreinte de lumière et d'histoire, et qui laisse entrevoir un charme fou. Pierre entraîne Olivia, dans les vertiges de l'amour, à Paris, son fief, sur la Côte d'Azur avec ses corsos fleuris, en Irlande et ses paysages vertigineux… Néanmoins une épée de Damoclès veille, va frapper… Art, culture, histoire et nature, sont largement abordés. L'écriture est belle, fluide, incisive, audacieuse. Les scènes amoureuses sont osées, lancinantes. Les descriptions de paysages sont poétiques. MARYLENE HALIMI Marylène Halimi de formation littéraire signe son premier roman. Les mots, elle les manie depuis toujours. En eux, elle trouve une trame inexorable, un chemin, un art de vivre. C'est ainsi qu'elle conçoit son univers. Lire, écrire, et décrire les joies, les peines, la poésie de tous les instants. Elle ne saurait voyager sans ses livres qu'elle emporte avec elle, au gré de ses promenades, pour se laisser posséder par leur pouvoir enchanteur. La nature est essentielle à ses yeux, elle la sanctifie résolument.
Tu es là, absente et omniprésente, tout au long de mon chemin, je te parle et même si tu ne réponds pas, tu m’écoutes avec attention, et me fais avancer dans ce périple de la vie, incertain et sournois. Tu m’aides à me frayer un passage, dans ce dédale compliqué et me fais percevoir l’orée d’une clairière, d’une lisière où perce une lumière intense et apaisante à la fois, tu me rassures et je peux avancer sans crainte, sans peur !
Je refais le monde à l’envers, et mets toute mon énergie à te préserver, te chérir, monter des murailles infranchissables, comme une forteresse inaccessible, pour empêcher le mal, la douleur, la tristesse, le vide, le néant...
Je voudrais voudrais redevenir cette enfant que tu promenais avec fierté, celle qui te dessinait très maladroitement des nuages ou des fleurs, des forêts ou des étoiles...
Ce livre raconte la perte d’un être cher, les regrets qui se profilent et le vide de l’absence. Réaliser que la vie est belle, malgré tout, et que chaque instant devrait être un moment de félicité, de jubilation. Un film qui vous transporte, un livre que l’on referme à regret, tant il vous a émue, des souvenirs qui reviennent en boucle, un voyage dans l’espace et à travers le temps, un tableau qui vous laisse interdite...
Dans son antre d’apprenti sorcier, dans un joli coin de Provence dans le Lubéron, il recherche inlassablement, les fleurs et les plantes qui donneront les senteurs judicieuses, de son prochain parfum.
Le gardénia à fleurs blanches, le muguet et ses clochettes précieuses, le jasmin qui envoûte, les orchidées si belles et odorantes, aucune fleur, aucune plante n’a de secret pour cet artisan parfumeur.
Il passe des heures infinies et inlassables dans son atelier, rien ne peut le distraire de sa tâche. De grandes baies ouvertes sur un parc boisé et fleuri, donnent une lumière douce qui s’accroche aux petites fioles. Il y en a des centaines.
Dans ce recueil, j’ai voulu répertorier quelques instants, banals et simples, mais essentiels, de moments tristes ou heureux, parce que la vie est tissée de ces pages de quotidien, qui ramènent, de manière inéluctable à l’enfance. Les souvenirs sont enfouis, mais ils ressurgissent à des momentsclé de notre vie.
Le temps traverse les êtres et les époques dans un mouvement impassible. Les cycles de vie se perpétuent, il reste les souvenirs, les images, les photos, les films, la mémoire vive et cette douleur au fond de nous-mêmes."
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