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BIOGRAPHIE :

Bret Easton Ellis est un écrivain et scénariste américain né le 7 mars 1964 à Los Angeles. Devenu une star avec son premier roman Moins que zéro, il connaît son plus grand succès commercial avec American Psycho, popularisé davantage après la sortie de son adaptation cinématographique par Mary Harron en 2000. Membre du Brat Pack, ces écrivains emblématiques de la littérature américaine contemporaine, Bret Easton Ellis est aussi connu en 2019 pour son essai, White.

BIBLIOGRAPHIE :

2023 - Les éclats

2010 - Suite(s) impériale(s)

2005 - Lunar Park

2000 - Glamorama

1996 - Zombies

1992 - American psycho

1988 - Les lois de l'attraction

1986 - Moins que zéro


Los Angeles, 1981. Bret, dix-sept ans, plongé dans l'écriture de Moins que zéro, entre en terminale au lycée privé de Buckley. Avec Thom, Susan et Debbie, sa petite amie, il expérimente les rites de passage à l'âge adulte : alcool, drogue, sexe et jeux de dupes. L'arrivée d'un nouvel élève fait voler leurs mensonges en éclats. Beau, charismatique, Robert Mallory a un secret. Et ce secret pourrait le lier au Trawler, un tueur en série qui sévit dans les parages. Terrorisé par toutes sortes d'obsessions, Bret se met à suivre Robert. Mais peut-il se fier à son imagination paranoïaque pour affronter un danger menaçant ses amis et lui-même, et peut-être la ville et le pays entier ?

Vingt-cinq ans après la publication de Moins que zéro, l'histoire continue...
Une plongée dans la décadence, la violence et le vide existentiel de la classe dorée de L.A.

Clay, l'anti-héros du premier best-seller de Ellis, Moins que zéro, revient à Los Angeles. Il a vingt ans de plus, il est un peu plus vieux, un peu plus seul et désœuvré. Il retrouve ceux qu'il a connus dans sa jeunesse, Blair, Trent, Julian, Rip... les représentants d'une génération dorée et perdue, abandonnés à la vacuité, la solitude et la vanité qui les détruisent.
Producteur associé à l'adaptation cinématographique de son dernier scénario, Clay participe au casting du film, joue de son pouvoir, séduit Rain, une jeune actrice sublime et sans talent, lui fait de fausses promesses. Il est prêt à tout pour la posséder. Mais qui manipule qui ? Clay découvre vite qu'il est constamment observé et suivi...
Jalousie, trahisons, meurtres, manipulations... ici, dans la Cité des Anges, chacun se heurte aux mêmes jeux d'emprise et aux mêmes démons, s'enivre de sexe, d'images, de drogues, de fêtes irréelles... et se révèle toujours plus amer et désespéré. Le vide et la fureur aspirent les personnages, et leur font perdre tout sens des limites.

Cinq ans après l'éblouissant Glamorama, Bret Easton Ellis change de registre et se met en scène pour devenir le personnage central de Lunar Park.

On se souvient des personnages décadents Patrick Bateman (American Psycho) et Victor Ward (Glamorama), des paradis artificiels, de la gloire et de la violence qui étaient au cœur de leurs expériences.
Comme s'il s'agissait d'écarter une réputation sulfureuse, mêlant ses propres souvenirs, ses démons et les personnages qui peuplent ses précédents textes, Ellis décide avec Lunar Park d'incarner lui-même un homme marié, père de famille, vivant dans une immense propriété du comté de Midland. En définitive, une vie bourgeoise partagée entre le centre commercial le samedi après-midi, les séances chez une thérapeute pour couples et les dîners entre voisins. Un revirement comique qui se transforme en cauchemar. Le narrateur, Bret Easton Ellis, pense que les madeleines de Proust sont des mandarines, que sa maison d'Elsinore Lane est hantée, que le spectre est son père mort et peut-être aussi le héros assassin d'American Psycho, qu'il doit retrouver la simplicité des phrases de son premier roman...
Un rêve halluciné et jubilatoire qui mêle autobiographie et visions stupéfiantes : Bret Easton Ellis se joue avec humour et virtuosité du mythe de l'écrivain pour écrire un roman puissant et magistralement maîtrisé.

Hilarante et cruelle, la peinture désabusée de la société branchée new-yorkaise, par l'enfant terrible des lettres américaines.

Quel rapport y a-t-il entre un défilé de mode et un attentat à la bombe ? Un coup de cymbales peut-il déclencher l'explosion d'un 747 ? Par quel miracle retrouve-t-on un livre de Guy Debord au fond d'un sac Hermès ? En combien de minutes une super-model peut-elle répandre tout son sang sur le carrelage de la salle de bains d'un palace ? Va-t-on encore prétendre exister quand on n'est pas soi-même une célébrité ? La vie de chaque individu n'est-elle pas désormais le résultat d'un complot généralisé ? Et si la réalité entière est devenue un film, par quelles portes sort-on de cet enfer ? C'est à Victor Ward - fils de famille banni, mannequin presque célèbre, patron de boîte de nuit raté, amant absent, terroriste potentiel et espion improbable - qu'il appartient de répondre à ces questions qui jalonnent le monde à la fois terrifiant et impalpable dans lequel nous croyons être en vie.

Avec un humour féroce et une profonde sensibilité, Bret Easton Ellis fait le portrait au vitriol d'une société et d'une époque.

Ils ont entre 20 et 50 ans ; ce sont des producteurs, de riches épouses délaissées, des étudiants blasés, des stars du rock, des dealers, des mannequins, des vedettes de la télévision, des paumés, des criminels, et... des vampires. Ils vivent à Los Angeles dans les années 80 et, dans cet univers saturé d'argent, de voitures, de drogue et de sexe, tous souffrent de la même maladie : la mort de l'âme.
En treize tranches de vie racontées chacune par un narrateur différent, Bret Easton Ellis montre l'errance de ces êtres luttant contre le sentiment de leur propre inutilité et s'efforçant d'avancer dans un monde dépourvu de toute cohérence.
Après American Psycho, qui avait fait l'objet, dans le monde entier, d'un scandale - et d'un succès - retentissants, Bret Easton Ellis continue de mettre au jour les sombres aspects de la société américaine grâce à un talent particulièrement incisif.

À vingt-six ans, Patrick Bateman est un golden boy de Wall street, le parfait yuppie des années 80. Il est aussi serial killer....

"Patrick Bateman est, hélas, un des personnages de roman les plus intéressants qu'on ait créés au cours des dix dernières années." Michel Braudeau, Le Monde.
"Le premier roman depuis des années à faire résonner des thèmes aussi profonds, dostoïevskiens... [Bret Easton Ellis] nous oblige à regarder en face l'intolérable, ce que peu de romanciers ont le courage de faire." Norman Mailer.
"On entend rarement dire, dans la fureur des commentaires, que ce roman est une satire, une satire hilarante, écœurante, pince-sans-rire, consternante... Ellis est avant tout un moraliste. Dans ses romans, chaque mot prononcé d'une voix laconique naît d'une indignation intense, douloureuse, éprouvée au regard de notre condition spirituelle..." The Los Angeles Times.

Le premier livre de Bret Easton Ellis, un coup d'éclat, salué par la critique comme un Attrape-Cœurs moderne. Le roman emblématique des années 80.

Clay, jeune étudiant sur la côte Est, revient à Los Angeles pour les vacances de Noël. Il erre de fête en fête, avec les filles et fils de riches producteurs, essaye diverses drogues, se demande ce qu'il éprouve pour sa petite amie, couche avec celles et ceux qu'il croise, au hasard des rencontres. Il observe avec un froid détachement le mal-être, le désœuvrement désabusé et halluciné de ceux qui l'entourent, l'angoisse, le vertige tapi dans l'apparente indifférence, la recherche incessantes de plaisirs, l'accoutumance, l'apathie, et le vide qui les consument.
Clay remarque sur les panneaux publicitaires de L.A. cette étrange injonction " Disparaître ici ". Dans ce monde miroitant, factice, qui ne parvient plus à masquer le désespoir et la violence qu'il engendre, il est difficile de rester en vie. Le sexe, l'ivresse, l'argent n'apportent ni le bonheur ni la puissance escomptés. Mais ils demeurent peut-être les derniers objets du désir, pour se sentir encore vivant.


Blog consacré à Bret Easton Ellis

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